jeudi 9 janvier 2014

LE VOILIER (Napoléon)


Au loin blanchit un voilier solitaire,
Un homme debout scrute la mer.
Pour l’exilé la vie est dure,
Et son pays inaccessible !
De loin, il surveille les navires,
Espère une aide qui ne vient pas.
Sur l’île, la France n’est plus qu’un rêve.
Au fond il sait qu’il l’a perdu,
A trop vouloir on ne gagne pas.
L’exil est dur et peu d’amis
Mais les empereurs sont solitaires.
L’homme debout vire de bord
Pour retourner ver son dernier refuge.

Elena 2014

14 commentaires:

  1. j aime beaucoup ls poemes sur la mer et ttes ses derives parfois sur ls flots incertains de la vie merci bne journee bizes

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  2. Quitter sa patrie est certainement un déchirement, mais découvrir un nouveau pays peut être aussi un enrichissement. Ayant longtemps vécu à l'étranger, j'ai pu constater cela lorsque je suis revenue dans mon pays de naissance.

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  3. un choix ou une obligation qui n'est pas évidente*mais le souvenir reste*
    bisous et belle journée

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  4. l'exil
    seul ds la nuit noire
    hou hou
    tiens voilç ds la prison d'alcatraz
    une petite souris
    je la cajole
    je lui parle
    je l'aime
    je suis sauvé

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  5. C'est joliment écrit ... l'exil n'est pas un choix !
    Bises amicales et une excellente journée Elena

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  6. joli poème, Elena;
    belle journée;

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  7. Bonjour Elena,
    Bien joliment écrit, mais combien l'exil fut difficile pour Napoléon, il le fut tout autant pour Victor Hugo, je crois d'ailleurs qu'il doit l'être pour tout homme quelle que soit sa position sociale.
    Très belle journée à toi.
    Bisous
    Prima

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  8. lui un grand homme bannit sur cette ile , il a du se sentir vide... oui comme tous ceux qui quitte tout et parfois ne trouve que le néant .....
    émouvant ton texte
    bisous et douce journée

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  9. loin de tout
    ds une i^le dézerte
    pendant que je pe^che des poissons
    je médite
    et perds ma pêche
    Zut que vais-je manger au repas de midi
    la providence qui me surveille
    crée un naufrage
    et voici qu'arrive à la nage une naufragée
    elle se resaisit
    se peigne
    se met un peu de rose
    et ds le simple appareil
    la voilà qui cuisine un repas délicieux
    comme tte parisienne
    elle fait merveille avec si peu
    et je suis rovigoré
    et me remets à siffloter la marseillaise

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  10. Bonjour Elena,
    Un bien joli texte.
    Bon jeudi
    Bisous

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  11. A l'entrée de l'2cole normale, j'ai du composer sur un sujet original :
    "si vous deviez vous établir sur une île déserte, quel seraient les deux livres que vous emporteriez ?
    j'ai dit la Bible, et une bonne encyclopédie
    j'ai été reçu ??? !!!
    bien que les écoles normales soient roses pour le moins

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  12. un très beau texte
    un sujet d'actualité
    c'est vrai qu'à trop vouloir on perd tout
    douce fin de journée
    gros bisous

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  13. A trop vouloir on ne gagne pas. Plus prosaîquement, je dirai que Napoléon avait les yeux plus gros que le ventre. Il est assez rare que les tyrans finissent leur vie entourés de l'affection de tous !

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  14. un destin similaire a celui de bien des conquérants avant et après lui ... la soif de pouvoir amène rarement des amis .... à travers ton poème, je vois réellement dans ma tête cet homme solitaire et que pourtant je n'arrive pas à plaindre !!!
    gros bisous élena et bon vendredi

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