mardi 29 septembre 2015

LA VILLAGEOISE ET LA PARISIENNE


La parisienne demande :
-         Comment avez-vous vécu l’occupation ?
-         Dame cela n’a rien changé pour nous, on avait toujours autant de travail
-         Mais vous les voyiez les Allemands ?
-         Oui, ils venaient dans la région mais ils ne nous dérangeaient pas,
-         Vous acceptiez le gouvernement de Vichy ?
-         Cela n’avait aucune différence pour nous, on travaillait toujours.
-         Et la résistance vous connaissiez ?
-         Après la guerre quand tout le monde en parlait.
-         Comment avez-vous réagi à la libération ?
-         Pour nous c’était pareil, cela ne changeait rien, nous avions toujours autant de travail.
Découragée la Parisienne ne posa plus de questions, elle en savait déjà de trop !

Elena 2015

14 commentaires:

  1. difficile de juger 75 ans après
    belle journée

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  2. difficile de juger 75 ans après
    belle journée

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  3. la terre se fiche des guerres , la nature se fiche des disputes et et meurtres entre humain ... ceux qui la travaillent vivent avec la terre....
    la guerre c'est pour les gens qui s'ennuient et on le temps de mal penser ....

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  4. C'est ma foi un peu vrai, il fallait bien continuer à vivre ou même à survivre.

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  5. MOI AURAIS ETE DS LA RESISTANCE

    GUY

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  6. les gens de la campagne etaient à part je crois pdt la guerre ils vivaient bien mieux ke ceux ds villes et etaient un peu indifférents sans opinion c un autre monde à l epok

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  7. Bonjour Elena,
    Nous vivions dans une petite ville de Suisse Normande, ma mère se retrouvait seule avec 3 enfants, mon père n’était plus avec nous, recherché par la Gestapo, ce ne fut certes pas facile pour elle.
    Je ne sais comment vivaient les campagnes durant l'occupation, mais j'ai un bon souvenir de ces gens de la terre qui nous ouvrirent leurs granges et parfois leurs portes après le déluge de bombes du 6 juin 44 sur nos villes.
    Elle me paraît bien étrange ta villageoise, ou sa campagne n'avait rien de commun avec la campagne normande. Tous les villageois ne furent certainement pas comme elle. Je crois qu’elle pratiquait la politique de l’autruche « ne rien voir, ne rien entendre »

    http://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_1997_num_47_5_4811

    Bonne fin de soirée.
    Bisous
    Prima

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  8. une époque complexe, à la ville comme à la campagne

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  9. Bonsoir Elena,
    Mes grand parents, parents ont vécu cette époque.
    Bonne soirée
    Bisous

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  10. elle était "gratinée", disons spéciale, cette villageoise, j'ai connu cette epoque à la campagne, nous ne souffrions pas de la faim, mais nous étions tres concernés par tout ce qui se passait, ceux qui se cachaient, les prisonniers qui n'étaient plus là, les maquis, les atrocités allemandes, les collabos, pas facile cette epoque, pour ne rien voir, il fallait vraiment être abruti ! pardon Ln ça a existé des gens comme ça, mais la plupart étaient concernés, amitiés et bises

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  11. Au moment des bombardements les enfants frontaliers ont été expédiés en Suisse et les désastres de la guerre ont pu être découverts à la fin........
    Bisous et belle journée Elena

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  12. Grâce au travail des paysans beaucoup ont pu manger et survivre.. beaucoup aidaient les résistants .. la villageoise qui n'entend et ne voit rien me semble être une exception.. Bonne journée Elena. Bisous

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  13. Passes un bon mercredi Elena
    Bisous

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  14. beaucoup de paysans travaillaient "pour rien" ! ils avaient des quotas qu'ils devaient donner aux allemands ! heureusement, la France a beaucoup de cachettes où l'on pouvait faire de la culture et même des moutons sans que ça se sache !

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