lundi 31 décembre 2018

#lundi soleil
décembre : bonheur
bonheur : mariage de ma petite-fille !
Elena 2018

lundi 24 décembre 2018

#lundi soleil
décembre : bonheur
bonheur : mon arrière petit-fils dans la crèche !
Elena 2018

vendredi 21 décembre 2018

NOËL

Noël approche sous un chômage constant.
Paul et Lilli n’auront pas de cadeaux,
Pas de réveillon non plus, un lot bien dur
Quand on ne travaille plus.
Pourtant la veille du réveillon , la neige
tomba si épaisse que le village
En resta tout baba,
Il ne neige pas dans ce coin là !
Noël est là et peu importe le réveillon,
Chacun fabrique une luge ou bien des skis,
Tout le village glisse sur la pente,
La neige est là !
Comme les autres Paul et Lilli s’en
Donnent à cœur joie glissent et roulent,
Leur rire jaillit
Ils sont tout à leur joie,
Tant pis, on verra bien demain !

Elena

mercredi 19 décembre 2018

LE BALAI
Ma fille jouait dehors avec deux copines, elles devaient faire un tour de vélo à tour de rôle et le vélo appartenait à ma petite de six ans. Je les entendais vaguement pendant que je bricolais à la maison. Ma gamine se met à crier :
  • Tu n’as pas le droit de faire un tour de vélo en plus, tu triches !
L’autre fillette éclata de rire et refit un tour de vélo. Pendant ce temps ma fille est rentrée dans la cuisine, je lui demande ce qu’elle veut :
  • je viens chercher mon balai !
Je la vois ressortir, je jette un coup d’œil par la fenêtre et menacer sa copine :
  • si tu fais un tour de plus que nous je te tape avec mon balai.
  • Je vais le dire à ma maman,
  • Tant pis.
Je me sentis obligée de sortir et reprendre le balai à ma fille en lui expliquant que ce n’était pas un objet destiné à taper les enfants. Furieuse ma petite prit son vélo et dit à ses compagnes :
  • je ne le prête plus, je vais en faire toute seule.
Les fillettes se dispersèrent et je rentrai, cela ne me regardait plus.
Elena

lundi 17 décembre 2018

#lundi soleil
décembre : bonheur
bonheur : mon petit-fils, sa femme et la fille de la mariée !
Elena 2018

vendredi 14 décembre 2018

CRAINTES
Denis rentrait chez lui après une réunion qui s’était terminé tard. Sur la route un policier l’arrêta pour lui demander ses papiers et plein d’autres questions, étonné il dit :
  • Que se passe-t-il ?
  • Un homme s’est échappé de Fleury Mérogis, enfermez-vous chez vous et n’ouvrez à personne.
Il habitait à cinq minutes, la lumière était allumée dans la cuisine et il entendit des voix alors qu’il entrait. Maryse n’était pas seule, elle présenta :
  • Monsieur Dubuis est tombé en panne de voitures, elle est au garage et nous attendons que le garagiste ramène la voiture, ça ne devrait pas tarder ; j’ai assisté à la panne et je lui ai proposé de venir attendre à la maison.
  • Tu as bien fait ! Mais le ton montrait la contrariété de son mari.
Maryse proposa à Denis de dîner en attendant que Monsieur Dubuis parte, il accepta mais ne se dégela pas pour autant. Il repensait à la fuite d’un suspect dangereux et si cet homme l’était… Que devait-il faire sans preuves ? Il n’allait pas attendre qu’il les tue !
Il l’examina, il avait l’air normal, juste un peu nerveux mais les criminels sont des gens comme les autres physiquement. Il se décida à lui poser quelques questions :
  • Vous veniez de loin ?
  • Non, j’habite tout près, je ne pensais pas tomber en panne aussi bêtement !
  • Ce n’est pas vous qui m’avez dépassé en revenant du côté de Fleury ?
  • Cela me paraît difficile, je viens de Rungis.
  • En effet !
Le silence s’appesantit sur les deux hommes. Maryse sentit l’anxiété de son mari mais ne savait pas comment agir alors elle se taisait et attendait de voir venir les choses.
La sonnette fit trembler le couple, Denis ouvrit et se trouva face à un garagiste, il expliqua :
  • Votre voiture est réparée, il faut surveiller le cardan et aussi votre boîte de vitesses qui n’est plus neuve. Voici votre facture.
  • Je vous remercie, ma femme doit être folle d’inquiétude et j’ai oublié mon portable.
  • Il fallait nous le dire, voulez-vous qu’on la prévienne demanda Denis ?
  • Je veux bien, merci et il téléphona à son épouse.
Soulagé Denis lui expliqua pour l’homme qui s’était sauvé de Fleury Mérogis…
  • Il faut que je me dépêche de rentrer, ma femme ne s’enferme pas quand elle m’attend.
Il remercia le couple et partit, en leur laissant sa carte de visite. Maryse regarda machinalement la carte :
  • C’est un commissaire dit-elle et elle se mit à rire !
Elena

mercredi 12 décembre 2018

LE GRAND JOUR
Loïc se réveille en disant « c'est le grand jour ! »
Enfin il réalisera son rêve de toujours, en attendant il se prépare , met son plus beau costume, chante Rossini devant la glace et sourit à son aspect.
Aujourd'hui Loïc se sent beau, grandiose, jamais il n'aurait pu imaginer une telle joie alors tant pis si sa femme râle, il chante encore plus fort, sa joie doit sortir de tous ses pores comme lorsqu'il avait voulu devenir ténor. Comme il avait été heureux ! Dommage, le trac a tracé sa route, impossible de chanter en public, il ne chante plus qu'en famille et encore?
Il embrasse sa femme étonnée de le voir si bien vêtu et sort avant la pluie de questions.
La voiture approche, enfin il va voir les « 3 ténors » venus chanter à Paris, pour ce billet il a économisé durant des mois et a dû mentir à sa femme ; ne pas y penser maintenant se dit-il.
Il est bien placé , au milieu de gens aisés, son aspect lui paraît bien miteux brusquement.
Pas le temps de cogiter ils arrivent, chacun son tour puis ensemble , il chante dans sa tête en même temps qu'eux, il connaît tout le répertoire. Il bat des mains plus fort que tous, du moins il le pense, il est sûr qu'ils l'ont vu chanter entre ses dents qu'ils savent le ténor qu'il est.
La fin arrive, Loïc n'a pas envie de se lever, il vient de vivre le plus beau moment de sa vie, il se sent ivre de plaisir.
Dehors il fait frais, mais Loïc a chaud, il sourit en remuant les lèvres se remémorant sa soirée.
Soudain il voit des phares, il se sent ébloui, il n'a pas la force de bouger il avance sans trop savoir de quel côté, maintenant il est allongé en voyant des étoiles, les 3 ténors chantent pour lui mais ils les entend de moins en moins, une voix dit « son coeur bat à peine, pressez je ne suis pas sûr de le tenir en vie d'ici les urgences ». Paroles qui lui semblent vaines, plus rien ne peut lui arriver de meilleur après une telle soirée. Il s'endort en pensant qu’une vie sans chanter n'est pas une vie pour lui.
Elena

lundi 10 décembre 2018

#lundi soleil
décembre : bonheur
bonheur : Je suis avec mes 2 chiens il y a une dizaine d'années !
Elena 2018

vendredi 7 décembre 2018


CONSTANTIN KOROVINE (11861 – 1939)
Peintre post- impressionniste russe. Il vécut dans les pays nordiques également en France, il prépara l’exposition universelle à Paris en 1900 où il décroche une médaille d’or et il est nommé chevalier d’honneur. Pendant la révolution russe il essaie de sauver les tableaux du massacre révolutionnaire. Il émigre en France, il est enterré au cimetière russe de Sainte Geneviève des Bois. Il fut de la génération de Serov qui l'aida,
Je mets mes tableaux préférés :
Elena 2018

mercredi 5 décembre 2018

ELLE CHANTAIT
Marcel était un mari aimant mais colérique, Colette trouva la parade, à chaque fois que son mari commençait à râler elle se mettait à chanter. Il faut dire qu’elle avait une très jolie voix et leur rencontre se fit lors d’une représentation où Colette accepta de chanter un morceau de « Carmen »
Au début Marcel resta indécis quand il entendit chanter Colette au moment où il poussa une colère contre un chauffard mais il ne vit pas d’ironie dans son regard juste beaucoup de tendresse, il ne dit rien. Par la suite il lui demanda pourquoi elle chantait quand il était en colère ? Elle répondit que cela la soulageait et ils en rirent ensemble.
Les enfants naquirent et ils prirent l’habitude de chanter avec leur maman. Bien sûr si l’un d’eux devait être puni ou grondé le chant n’aidait pas.
Ils prirent l’habitude de chanter dès qu’ils sentaient leur père près à exploser et par l’habitude cela pouvait arriver devant des invités qui écarquillaient les yeux sans comprendre.
Elena

lundi 3 décembre 2018

#lundi soleil
décembre : bonheur
bonheur : Heureux qui comme Aloïs,,, (mon arrière petit-fils)
Elena 2018