lundi 29 juin 2020


#lundi soleil

Juin 2020 : outremer
outremer : mer Thaïlande
Elena

vendredi 26 juin 2020

MEURTRES DANS LA MAISON ROUGE
Le quartier des fleurs était composé de cinq immeubles jaunes, cinq verts et cinq rouges. Les immeubles jaunes étaient des habitations à logement modérés et on y trouvait surtout des gens peu aisés, les verts étaient pour les couches sociales moyennes et les rouges étaient à haut standing.
Quand on trouva Luc et Sabine morts dans le couloir des immeubles rouges ce fut un étonnement général. Le couple vivait là depuis cinq ans et n’avait connu que la paix, le juge ne savait pas où chercher ? Après une hésitation il chercha du côté des immeubles jaunes où se trouvaient des jeunes désœuvrés. Au bout d’une semaine il ne trouva aucun indice et c’est là que l’on trouva un autre meurtre dans un immeuble rouge au rez de chaussée, c’était la vieille Madame Ronet : riche veuve.
L’inspecteur retourna fouiller dans les immeubles jaunes, mais toujours sans succès. Alors les gens se mobilisèrent, les gens des immeubles rouges se réunirent pour voir ce qu’ils pouvaient faire !
  • Ce n’est pas une obligation que ce soit un habitant jaune dit Marc
  • Et si c’était un de l’immeuble vert demanda Paul ?
  • Je penche plus pour une personne de l’immeuble rouge mais je ne sais pas expliquer pourquoi ajouta Cédric.
  • C’est peut être un habitant d’ailleurs répondit Jocelyne.
Chacun d’entre eux décidèrent de surveiller très scrupuleusement chaque nouveau venu mais aussi les habitants et surtout tout ce qui pouvait paraître suspect.
Au bout d’une semaine rien ne se passa et la surveillance se relâcha. Le mardi on trouva Rose Martin assassinée devant son palier, toujours un habitant d’immeuble rouge.
L’inspecteur arrêta quelques fauteurs de troubles mais il dut les relâcher par manque de preuves.
Marc proposa :
  • On ne lâche plus la surveillance tant qu’on n’a pas trouvé le coupable !
  • Pourquoi c’est dans nos immeubles rouges qu’il tue pensa Paul tout fort
  • Je reste persuadé que c’est une personne vivant parmi nous insista Cédric
  • Je ne sais plus quoi penser dit Jocelyne.
Une autre semaine passa puis une troisième sans rien de neuf mais un soir que Cédric surveillait non pas les immeubles jaunes mais les rouges il vit sortir un homme masqué de l’immeuble en face. Il le suivit discrètement et s’aperçut qu’il entrait dans l’immeuble où il habitait. Aussitôt il appela l’inspecteur pour survenir en cas de crime, pendant ce temps il suivit l’homme masqué qui tenait un couteau et sonnait chez son voisin Marc. Il put téléphoner à Marc en lui demandant de ne pas ouvrir, entre temps il entendit monter l’inspecteur qui réussit à arrêter l’homme masqué. Après plusieurs heures l’inspecteur réussit à le faire parler. Il s’agissait d’un homme qui devait divorcer et rendre l’appartement à son épouse et comme il ne gagnait pas beaucoup il se serait retrouvé dans un immeuble jaune alors il voulut se venger de ceux qui avaient les moyens de vivre dans les immeubles rouges.
  • Nous pouvons enfin respirer remarqua Jocelyne et les autres rirent !
Elena

mercredi 24 juin 2020

HIBOU
Je suis un vilain hibou qui pleure sur un amour impossible ! Comme elle est belle la colombe qui vit tout près de moi, elle ne me voit pas, normal je suis laid. Elle m’ignore, je n’ai pas une belle voix ! J’irai la voir et lui dirai :
  • Ne me craint pas jolie colombe, pour toi je ferai l’impossible ; je franchirai les cieux, je te défendrai s’il le faut mais soit à moi, je t’aime comme un fou.
Cette idylle durait depuis un an et tous les oiseaux plaignaient le pauvre hibou, la blanche colombe l’ignorait et volait avec son compagnon.
Un jour, un incendie dévasta la forêt et le hibou sauva la colombe épuisée. Elle lui offrit une fleur qu’elle cueillit pour lui :
  • Merci gentil hibou, tu seras mon ami, nous ne sommes pas faits pour nous marier mais je ne t’oublierai pas, adieu !
  • Au revoir jolie colombe, je t’aimerai toujours !
Chacun partit de son côté, la colombe avec son compagnon et le hibou tout seul, il vécut longtemps en solitaire. Parfois son humeur plus gaie lui permettait de conter son bel amour platonique !
Elena

lundi 22 juin 2020

#lundi soleil
Juin 2020 : outremer
outremer : procession à Mandalay (Birmanie)
Elena

jeudi 18 juin 2020

GORKI
Il fait partie des écrivains soviétique mais il est considéré comme un classique dans la littérature russe. Il y a peu d’écrivains soviétiques connus à part les poètes comme Akhmatova, Essenine, Maïakovski …
Il y a eu Cholokhov qui a eu le prix Nobel pour « Le Don paisible » mais on lui a attribué un nègre pour l’avoir écrit et d’ailleurs on s’ennuie à mourir en lisant ce livre, j’ai du me forcer pour ne pas le reposer sur l’étagère.
Gorki est connu pour « les bas fonds » et aussi « La mère » L’un me rappelle les écrits de Dostoïevski mais « la mère » est un petit chef d’œuvre.
Il a réussi, en évitant de parler de communisme à raconter l’histoire d’une femme ignare s’intéresser à la politique grâce à son fils et surtout par inquiétude pour lui, et petit à petit elle acquière une conscience politique qui la rend efficace et perspicace.
Il l’écrivit lors de son séjour aux USA et ce fut une grande réussite.
Citation :
La sagesse de la vie est toujours plus profonde et plus large que la sagesse des hommes.
Elena

mercredi 17 juin 2020

APPROCHE DU PRINTEMPS (2011)
Avec Arvie nous sommes sorties, nous avons bifurquées dans le petit
chemin. Des deux côtés il y a des champs et au bout le petit bois. Nous avons admiré les violettes et les boutons d’or, vu les arbres bourgeonner. Il m’a semblé que les oiseaux revenaient à l’approche du printemps !
Arvie courait dans les champs, elle se roulait de plaisir, je l’emmenai jusqu’à l’Autize où elle put se désaltérer. Dans le petit bois nous nous sommes reposées en regardant l’eau couler. Nous sommes montées sur le vieux pont pour revenir de l’autre côté. Les fleurs sont différentes, la côte est un peu rude, mais quel plaisir de pouvoir faire cette promenade !
Elena

lundi 15 juin 2020

#lundi soleil

Juin 2020 : outremer
outremer : La mer sur la côte d'Azur
Elena

vendredi 12 juin 2020

Konstantin PERVOUKHINE (1863 – 1915)
Peintre russe, il est paysagiste, impressionniste, illustrateur et photographe. Il a été membre des Ambulants et est considéré comme un peintre russe de talent Répine
Il prend des cours privés de
Il voyage à Venise entre autre et finit sa vie à Moscou.
ci- joint ses tableaux les plus connus et son portrait :
Elena 2020

mercredi 10 juin 2020

CARLO
Il était interprète italien mais venait souvent en France pour son travail et travaillait à la bibliothèque Nationale pour traduire certains articles.
Carlo était originaire de Florence et il adorait sa ville natale, il avait un appartement confortable, une épouse qui attendait ses retours et deux fils de 13 et 15 ans.
Dans son métier il avait rencontré beaucoup de gens différents mais le jour où il rencontra Fanny, sa vie bascula. Ils avaient les mêmes goûts, les mêmes idées et tant de chose en commun qu’un jour ils s’unirent oubliant qu’il n’était pas libre.
L’idylle dura durant des années, à chaque fois que Carlo allait à Paris mais aussi quand Fanny se retrouvait à Florence, elle était romancière et son livre parlait des peintres florentins.
Certaines idylles passent inaperçues et personne ne sut pour les amoureux, ils furent même assez heureux jusqu’au jour où Carlo n’eut plus à aller à Paris, son Directeur lui fit remarquer qu’il pouvait trouver tous les articles dont il avait besoin sur place et que s’il allait plus loin il ne serait pas payé ; de son côté Fanny eut à peu près la même discussion. Les amoureux ne pouvaient pas se payer le voyage, Carlo à cause de ses fils qui faisaient des études supérieures qui lui revenaient chers et Fanny qui devait s’occuper de sa mère malade de l’Alzheimer.
Petit à petit ils ne se virent plus que deux fois par an et un jour Carlo dit :
  • Je pense qu’il serait préférable qu’on ne se voie plus, ma femme peut l’apprendre, Florence est une ville où je suis connu et une âme charitable serait contente de me trahir.
Fanny ne dit rien et partit pour ne plus revenir, elle accepta le mariage avec François qui la relançait depuis trois ans. Elle n’oublia pas Carlo mais vécut heureuse avec François avec des périodes de nostalgie. Les amoureux ne se revirent plus jamais et le souvenir s’estompa.
Elena

lundi 8 juin 2020

#lundi soleil
Juin 2020 : outremer
outremer : mon petit-fils adulte fait la tête
Elena

vendredi 5 juin 2020

LA RIME
La rime s’en est allée,
Sans me prévenir,
Sans voir venir,
Très loin elle est allée,
La rime m’a quittée
Me laissant démunie.
Presque punie.
Je ne l’ai pas rattrapée
Elle n’est plus là
Et moi je me sens seule,,
La rime part dans l’eau
Et moi dans le ruisseau !
Elena 2020

mercredi 3 juin 2020

GENDARMES de SARDAIGNE

Nous étions deux couples en Sardaigne, en camping-car. Nous traversions une petite ville, il y avait la fête et les rues étaient étroites, c’était difficile de passer, les gens s’arrêtaient pour parler entre eux. Une dame tout en noir assez âgée discutait en stationnant en double file, mon mari klaxonna, elle opina de la tête et au lieu de reculer nous rentra dedans en voulant manœuvrer. Notre camping-car fut à peine touché mais sa voiture fut abîmée, il n’y avait que des italiens, certains nous disputaient en montrant la voiture de la pauvre vieille dame. Nos amis trouvèrent des gendarmes, un parlait un peu français et l’autre un peu anglais, avec ça nous devions nous débrouiller pour le constat. Pendant qu’on s’occupait du constat, nos amis de voyage se mirent à mitrailler de photos la voiture de la dame et la rayure de notre camping-car puis ils photographièrent les gendarmes sous toutes les coutures y compris leur voiture. Je ne savais pas où me mettre, les gendarmes les ont vu mais n’ont rien dit, ils étaient d’une politesse et d’une patience d’ange. Tout le monde râlait, les gens voulaient nous mettre tout sur le dos, ils examinaient les faits en gardant leur sang froid. Ils m’ont impressionnée dans le bon sens. Nous avons dormi une journée dans un camping à côté pour réparer un phare, le surlendemain nous devions partir, je devais acheter quelques courses, les autres m’attendaient sur un parking en hauteur. J’avais retenu que nous étions garés en hauteur et qu’il y avait des arbres pour grimper sur le chemin qui menait au parking.
Je fis mes courses, j’achetai aussi quelques souvenirs en m’éloignant, quand je voulus revenir je m’aperçus que tous les chemins qui montaient étaient garnis d’arbres et se ressemblaient, je les grimpai un par un puis redescendais sans trouver le parking. J’appelai une femme en lui demandant la gendarmerie car j’étais perdue, à ce moment les policiers de la veille passaient, ils s’arrêtèrent, j’expliquai mon cas désespéré, j’avais presque les larmes aux yeux. Ils me dirent d’attendre, j’entendais les gens autour de moi raconter ma triste histoire et je n’étais pas loin d’éclater en sanglots. Je vis le camping-car de mon mari qui suivait les gendarmes dans une rue interdite, inutile de dire que je n’attendis pas et montai vite fait. Les gendarmes sont arrivés au moment où il voulait repartir au camping et lui demandèrent s’il avait perdu sa femme, il fit «oui » Tout finit bien et je garde un bon souvenir des gendarmes en Sardaigne.
Elena

lundi 1 juin 2020

#lundi soleil

Juin 2020 : outremer
outremer : spectacle équestre en Slovaquie
Elena