vendredi 29 novembre 2019

ALEXANDRE SOUVOROV
Né en 1730 et mort en 1800, le général Souvorov fut considéré comme le plus grand stratégiste. Il fut d’une grande fidélité à l’impératrice Catherine la Grande qu’il appelait « petite mère » elle était une idole pour lui en tant qu’impératrice expérimentée.
Souvorov ne connut aucune défaite dans sa vie militaire et peu d’hommes peuvent se vanter d’un tel exploit. Il vivait avec ses soldats, dormait avec eux, montait le premier à la charge. Sa psychologie des hommes en faisait un grand militaire et il se servait de toutes les astuces pour arriver à ses fins soit la victoire. Par exemple, un jour que les soldats refusaient de se battre contre les turcs trop nombreux, il creusa un trou, se coucha dedans et demanda qu’on l’enterre car il ne pourrait plus se montrer aux yeux de sa tsarine et il montrait le portrait de Catherine qu’il portait toujours sur lui. De même il se servait de Dieu pour inciter les hommes à l’obéissance sachant à quel point les hommes étaient pieux. Il lui est arrivé de demander à ses hommes de se mettre à sa place et de lui donner un ordre et à chaque fois les hommes pensaient comme lui tellement ils étaient imprégnés par ses idées militaires.
Sous Catherine il reçut un tas de médailles et monta jusqu’au grade de Maréchal. Après la mort de la tsarine son fils Paul Ier lui demanda de porter l’uniforme autrichien. Il obéit au nouveau tsar malgré les ordres de plus en plus compliqués et, malgré aucune défaite, il fut mis en disgrâce et rentra chez lui, il faut dire qu’il était jalousé car très aimé par ses hommes.
Il était très riche car Catherine II l’avait gâté et il n’était pas très dépensier mais il gâtait sa femme et ses enfants. Ses vêtements d’apparat il ne les mettait que pour aller voir sa souveraine et rarement au champ de bataille.
Après sa mort il y eut l’ordre de Souvorov et il fut regretté par tous les soldats avec qui il vécut comme un égal, mangeant et dormant à terre avec eux et s’habillant comme eux. Il écrivit, pendant sa retraite, un livre sur la stratégie militaire qui servit jusqu’au XXe siècle aux officiers de tous les pays.
Elena

mercredi 27 novembre 2019

OURSA

Ben et Betina vivaient à Ny Alesand trois à quatre mois de l’année, ils travaillaient dans le village scientifique. Le reste de l’année ils retournaient à Tromso sur leur propre voilier qu’ils avaient mis des années pour l’arranger à leur goût.
Comme la plupart des habitants de Spitzberg ils avaient une arme car les ours polaires étaient aussi nombreux que les habitants de cette petite ville.
Régulièrement ils allaient pêcher en mer pour se détendre en plein air, surtout l’été malgré la température qui n’excédait pas 5°. Ils aimaient voir le soleil de minuit qu’on voyait rarement à cause des brouillards fréquents.
Lorsqu’il faisait beau l’Arctique était d’un bleu argenté dû aux glaciers environnants et le soleil ajoutait une féerie ! Ben et Betina n’auraient pas pu vivre loin de la mer mais ils étaient heureux de rentrer à Tromso à la fin de la saison.
Ils avaient préparé leur voilier, fait leurs adieux à l’équipe scientifique et mirent les voiles. La mer était bleue et ils étaient heureux de partir par une belle journée ensoleillée mais fraîche.
En cours de route, ils virent un banc de baleines à bosses, elles étaient encore loin mais leur embarcation ne tiendrait pas à l’attaque. Ben téléphona au port pour prévenir qu’ils étaient en danger. Ils mirent le moteur à fond et abaissèrent les voiles, les baleines ne les suivaient pas, ils se sentirent soulagés, il faut dire qu’ils n’en rencontraient pas souvent et en général cela se passait bien.
A mi-chemin Betina s’écria :
- Regarde on dirait un ours qui nage vers nous !
- Oui, tu as raison répondit Ben en regardant avec ses jumelles – Il y a même le petit assis sur le rocher là-bas !
- Il ne faudrait pas que la maman ourse nous renverse remarqua Bettina !
Ben réfléchit puis sourit, il savait que les ours n’étaient pas toujours adroits pour attraper du poisson, il allait lui en donner ainsi elle n’aura aucune envie de renverser son voilier.
Il remplit une passoire avec des poissons crus qu’ils avaient pêchés le matin, puis Ben tendit un poisson en faisant signe à l’ourse. Etant un animal très curieux elle vit le poisson et s’approcha prudemment puis elle sauta et attrapa le poisson qu’elle avala ; Ben lui en tendit un autre et elle fit pareil. La passoire se trouva vite vide et ben murmura :
  • j’espère que tu en as assez car je n’ai plus rien à te donner, ce sera pour la prochaine fois !
Betina surveillait, elle avait mis le fusil pas loin au cas où son mari risquait un accident, elle fut soulagée de voir l’animal s’éloigner.
  • Regarde sa tâche sur la tête, ce n’est pas fréquent,
  • Tu as raison acquiesça Ben.
Ils rentrèrent sans d’autres incidents, juste un peu de tangage mais ils y étaient habitués.

Quand ils repartirent au printemps, la mer était belle, en approchant de l’île aux ours ils virent beaucoup d’oiseaux s’envoler, c’était toujours un spectacle magnifique et Ben aimait les filmer ; c’est à ce moment qu’il vit un ours nager vers lui. Il remarqua une tâche sur le front et il s’écria :
  • Regarde Betina c’est notre ourse, essaie de voir s’il nous reste du poisson cru !
  • Ok ! Je vois son bébé pas loin il a grandi en six mois.
Ben tendit un poisson à l’ourse qui l’attrapa puis elle mit ses pattes sur le bastingage et ouvrit la gueule en attendant le prochain. Pendant que son mari nourrissait l’ourse Bettina filmait la scène. L’animal n’était pas agressif bien au contraire elle prenait le poisson délicatement et quand Ben dit :
  • Il n’y en a plus regarde !
L’ourse mit son nez dans la passoire et partit doucement rejoindre son petit. 
  • Nous pourrions lui donner un nom proposa Betina,
  • Si on doit la voir à chaque voyage tu as raison répondit son mari en riant, que penses-tu de Oursa ?
  • Pourquoi pas.
Ils pêchèrent à nouveau et quelle ne fut pas leur surprise de retrouver Oursa qui les attendait le museau ouvert avec un grognement de bienvenue.
  • Mais tu vas nous manger toute notre pêche et nous n’aurons plus rien rit Ben,
  • Il lui lança sa pêche dans la gueule en douceur pendant qu’Oursa se tenait au bord sans faire chavirer le voilier.
Ainsi ils se retrouvèrent à Ny Alesand où ils racontèrent leur rencontre, personne ne fut vraiment étonné, ils leurs arrivaient qu’au milieu de leur conférence qu’un ours entre puis ressorte surtout si on tirait en l’air ; l’habitude est de ne pas fermer les portes à clef car les gens peuvent ainsi aller librement sans être obligé de sonner ou ouvrir une clé.
La saison scientifique se passa bien, la pêche fut bonne le dimanche et le couple se préparait à repartir.
Il y avait un peu de houle mais ça ne les inquiétait pas, avec les voiles ils iraient plus vite. Soudain ils aperçurent un autre bateau, il était à moteur. Ils ne le connaissaient pas et se demandait d’où il pouvait bien venir, ils firent un signe pour dire bonjour et au même moment ils entendirent des coups de fusils. Sidérés Ben et Betina reconnurent Oursa qui nageait vers eux, son ourson derrière elle et le bateau devant eux tirait sur elle !
Une mare de sang entoura la mer, on voyait la pauvre bête essayer de les rejoindre, Ben hurlait « Ne tirez plus, elle est inoffensive » mais les coups continuaient et la mer devenait de plus en plus rouge. Oursa était morte, elle avait coulé tandis que l’ourson avait également reçu une balle et essayait de rejoindre la rive.
Ben téléphona aussitôt pour prévenir ce qui était arrivé en donnant le numéro du bateau. Il n’y avait plus rien à faire et il ne voulait pas parler à l’homme qui lui faisait de grands signes tout content d’avoir tué un ours. En l’entendant il comprit qu’il n’était pas norvégien mais d’un pays qu’il ne connaissait pas, il fut soulagé que ce ne fut pas un des leurs qui tua Oursa sans raison mais il maudit l’étranger qui tira sans raison apparente à part la peur.
Ils surent que c’était un Irlandais qui était venu visiter Svalbard en campant et il avait demandé le droit d’un port d’arme, on le lui avait accordé en précisant qu’il ne fallait tirer qu’en cas de danger et si on ne pouvait plus faire autrement. Pour l’ourson il fut soigné et mis dans une réserve le temps qu’il retrouve sa santé.
Ils n’eurent plus l’occasion d’apprivoiser d’ours au cours de leur voyage mais parfois ils regardaient le film qu’ils avaient pris et ils avaient le cœur gros. Il faut dire que des ours ils en voyaient mais ils ne s’approchaient pas, Oursa avait été la plus téméraire.
Elena


lundi 25 novembre 2019

#lundi soleil
novembre 2019 : oiseaux
oiseaux : le lac Inle (Birmanie)
Elena

vendredi 22 novembre 2019

KIEV

Quand j’y suis allée ce fut en mars 1980. Il faisait beau mais encore froid. J’ai beaucoup aimé la visite de la ville. Un jour je rencontrai une femme dans une église où je voulais prendre une photo, elle me proposa :
  • Voulez-vous venir chez moi, je vous donnerai des cartes postales, il est interdit de photographier !
  • Avec plaisir répondis-je.
La messe venait de se terminer et elle monta dans une voiture officielle, elle demanda au chauffeur de faire le tour de la ville puis de l’arrêter au syndicat. Je la regardai étonnée, elle m’explique :
- Je suis secrétaire principale du syndicat, il faut que je m’arrête pour prendre des papier puis nous irons chez moi – Je viens de divorcer et l’appartement est presque vide mais j’ ai les cartes postales – Je vous demande de ne pas dire que vous m’avez vue à l’église. Je la rassurai, perplexe par le chauffeur !
Après avoir pris ses papiers, elle monta dans la voiture et demanda au chauffeur de la conduire chez elle.
L’appartement était en plein centre, très cossu mais presque vide. Elle me fit asseoir, me proposa une tasse de thé que j’acceptai et alla chercher ses cartes postales :
  • Les voilà me dit-elle ! Je vous offre aussi ce tableau, il fut peint par un peintre de Kiev.
Je la remerciai, elle me parla de son divorce, me montra son père médaillé jusqu’à la taille puis, je partis seule, elle avait renvoyé son chauffeur.
Lorsque je me trouvai devant la douane, on vit le tableau que je ne cachai même pas et alors ma valise fut déballée, on éplucha mon carnet d’adresses, j’eus une tonne de questions sur chaque personne de mon carnet par un commandant ! On me reprit le tableau et d’autres choses qui n’étaient pas emballées dans du papier cadeau pour touristes. Je suis rentrée en France assez triste, j’appris plus tard que mes amis eurent tous des interrogatoires. Je n’ai jamais compris comment cette femme puissante au syndicat a pu faire une telle boulette et me donner un cadeau interdit, de plus j’avais son adresse donc elle a dû être ennuyée également mais je ne l’ai plus revue, elle ne répondit pas à mes lettres.
Elena

mercredi 20 novembre 2019

LE CHEMIN DES AMOUREUX
C’était un petit village cerné par plusieurs routes, seul un petit chemin menait vers le bois. La plupart des amoureux aimaient emprunter ce chemin, ils rencontraient parfois un chasseur ou le garde champêtre mais ils étaient seuls au monde et peu importe les gens qu’ils croisaient.
Roseline marchait rapidement, elle devait retrouver Roger, leur amour durait depuis neuf mois et bientôt ils devaient se marier. Elle le cherchait partout un peu inquiète, il était toujours si ponctuel d’habitude.
Elle entendit son nom et se retourna, Roger venait un bouquet de marguerites à la main, son cœur se serra « Comme je l’aime » Pensa-t-elle !
Ils se donnèrent la main et poursuivirent le chemin en faisant des projets d’avenir, le temps était au bonheur, les soucis étaient encore très loin !
Elena

lundi 18 novembre 2019

#lundi soleil
novembre 2019 : oiseaux
oiseaux : un touriste apprivoise un faucon au Pic du Midi
Elena

vendredi 15 novembre 2019

  • Dmitri LEVITSKI (1735 -1822)
  • Peintre ukrainien surtout portraitiste. Fils d’un pope il réussit à rentrer dans les Beaux Arts de Saint Pétersbourg . Il peignit les grands personnages de son époque.
  • Je vous mets son auto-portrait, Catherine la Grande et d’autres tableaux connus.
  • Elena 2019

mercredi 13 novembre 2019

EDUCATION CANINE
Quand j’ai eu Porthos, mon léonberg de 2 ans ½, pesant 80 kg et tirant la laisse dès qu’il voyait un chat ou un autre chien, on m’a conseillé de l’éduquer. Aussitôt je l’ai inscrit aux cours d’éducation où on voyait surtout des chiots.
Je suis arrivée avec Porthos pour la première leçon et je suis tombée sur un homme costaud qui criait sur les chiens, il me dit :
  • Je vais le dresser, attendez sur le côté.
Sans rien dire je me suis un peu éloignée et je le vis faire suivre mon chien devant les autres en lui donnant des coups de laisse à chaque fois qu’il tournait la tête et en lui criant dessus. Affolée je me suis approchée et je l’appelai, il se tourna vers moi mécontent :
  • je préfère tenir mon chien moi-même insistais-je.
  • Alors tenez-le bien !
Porthos tremblait dès que le moniteur s’approchait de nous, à un moment donné il fallait passer devant un morceau de viande sans que le chien y touche, le moniteur reprit la laisse de Porthos sans me demander mon avis et bien sûr la tentation fut grande de vouloir essayer d’attraper la viande alors il le dérouilla et je me mis à crier. Je pris mon chien en colère :
  • Vous attendez qu’il vous morde ?
  • S’il essaye de me toucher je le tue, j’ai une carabine toujours à mes côtés. Il faut le casser sinon il deviendra un chien dangereux !
  • Et bien vos méthodes ne me conviennent pas, je l’éduquerai moi-même et je partis.
Porthos me fit la tête en voiture et j’étais au bord des larmes mais en revenant je me suis inscrite sur un forum de chiens qui me conseilla de le promener avec un licol pour chiens et depuis je n’ai plus eu aucun ennui. Je regrette que certains éducateurs exercent la méthode forte pour éduquer un chien au risque d’en faire une lavette sans caractère. Alors que douceur et fermeté est la solution pour la majorité des cas !
Ceci dit je suis allée sur un forum de chiens et un éducateur m'a conseillé un licol pour chiens, c'est pareil que pour les chevaux, ne pas confondre avec muselière.
Elena

Porthos attendant que je lui donne une cerise et nageant avec son licol !

lundi 11 novembre 2019

#lundi soleil
novembre 2019 : oiseaux
oiseaux : La Rochelle : ma petite-fille et le cygne
Elena

vendredi 8 novembre 2019

FEDOR DOSTOÏEVSKY (1821 – 1881)
Ecrivain russe très enfermé sur lui-même, agnostique et socialiste sans être au parti. Il est pris avec d’autres dans une réunion et se retrouve 4 ans au bagne à OMSK en Sibérie.
Il en profite pour raconter la misère, la vie des petites gens qu’il a vu quand on l’a libéré et qu’il a vécu en Sibérie.
Au retour il devient monarchiste, croyant et très russophile. Tous ses livres sont exagérés tant pour les bons qui deviennent saints ou les méchants qui sont des diables ou presque. Il a eu beaucoup de succès malgré son exagération car il a su entrer dans l’âme des gens.
Épileptique et joueur il n’était pas très cordial mais eut deux épouses malgré son tempérament très sombre.
« Le joueur » raconte sa vie quand il jouait tout comme il écrivit un livre sur le bagne. Les plus connus furent « Les frères Karamazov » Dans ce livre il y met tout son mysticisme « Crime et châtiment » « les Démons » et j’ai bien aimé « L’idiot » car l’idiot se trouve un homme très intelligent mais naïf et le roman est très bien construit. J’aime aussi « Journal d’un écrivain » qui est autobiographique.
Il n’est pas mon écrivain préféré mais je ne pouvais pas le laisser dans l’ombre.
Elena
citations de Dostoïevsky :
  • Plus j'aime l'humanité en général, moins j'aime les gens en particulier, comme individus.
  • On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves, c'est faire injure à ces derniers.
  • Mettre à mort un meurtrier est une punition sans commune mesure avec le crime qu'il a commis,

mercredi 6 novembre 2019

EXTRA LUCIDE (fiction)
Je suis née avec un don ou un handicap selon les moments ; je m’explique je ressens tout ce que l’on pense de moi (pas des autres). Exemple, quand je suis née je pleurais dans les bras de papa car il aurait préféré un garçon et je l’ai sûrement ressenti alors difficile de me mentir.
Quand j’ai rencontré Chris j’en suis tombée amoureuse tout en sachant que pour lui c’était juste une aventure et j’ai refusé de sortir avec lui.
Michel me proposa le cinéma et j’acceptai car je sentais de bonnes ondes et c’est ainsi que nous avons rencontré un type qui cherchait à violer une femme près du cinéma Michel se dépêcha de libérer la femme, elle était un peu choquée mais refusa qu’on la ramène.
Je le racontai à mes parents qui félicitèrent mon ami car ce n’est pas si courant.
Quand je présentai Michel à mes parents mon père fut assez froid et j’attendis avec impatience un moment où on se trouverait tous les deux pour savoir ce qu’il en pensait.
Le soir je pus enfin demander à mon père ce qu’il pensait de Michel ?
  • Il me rappelle un voleur que l’on recherche (mon père est inspecteur)
  • Et tu crois que c’est lui ?
  • D’après le portrait robot oui !
Je me tus car je ne pouvais pas lire les pensées des autres uniquement si cela me concernait.
Avec Michel nous ressortîmes et je suis certaine qu’il m’aime mais comment savoir s’il est honnête ou pas ?
Deux semaines après mon père m’appela et me dit :
  • c’est un sosie on a retrouvé le vrai voleur, tu peux sortir avec lui sans crainte !
  • Oh je suis soulagée !
Le soir même je racontai tout à Michel et il éclata de rire, je fis comme lui et ça nous fit du bien.
C’est ainsi que j’épousai Michel neuf mois plus tard dans la grande joie de tous les miens qui apprirent à le connaître et l’apprécier.
Elena 2019

dimanche 3 novembre 2019

#lundi soleil
novembre 2019 : oiseaux
oiseaux : danse des mouettes en Charente-maritime
Elena

vendredi 1 novembre 2019

ANDREÏ ROUBLEV (entre 1360 et1370 mort 1428)
L’iconographe le plus connu de Russie Quand j’ai visité le monastère où il a peint, le guide nous a montré un arbre en disant qu’il peignait en haut de l’arbre et ses élèves en bas. On sait aussi qu’il est né d’une famille noble.
On dit qu’il serait mort lors d’une tempête et qu’il fut canonisé.
Je mets son portrait et les œuvres les plus connues comme l’icône de la Trinité.
Elena 2019