AUX PORTES DE LA DETRESSE
Aux portes de la détresse
Il n’y a plus de caresses,
Il n’y a plus de tendresse.
Il y a l’étau qui sert
Les portes de l’angoisse.
Il y a les larmes qui tombent
Dans un torrent de glace.
Il y a le cœur qui fond
Sans laisser de traces.
Aux portes de la détresse
Il y a les âmes qui passent.
Elena 2008
bonjour chère Elena, bravo pour ton nouveau blog , impressionnantes ces grandes flammes ! un peu triste ton dernier poème, mais c'est ainsi la tristesse fait aussi partie de la vie ! bon dimanche à vous deux, esperons que tes yeux vont bien, grosses bises
RépondreSupprimerLe moins qu'on puisse dire, c'est que ce poème là n'est pas gai mais je crois que tes mots, Elena, doivent en toucher plus d'un.
RépondreSupprimerBonne journée et merci de m'avoir donné ta nouvelle adresse car j'ai un peu déserté les blogs ces derniers temps. Obligations et soucis multiples.
Merci encore et je lis le reste de ce nouveau blog.