Au loin blanchit un voilier solitaire,
Un homme debout scrute la mer.
Pour l’exilé la vie est dure,
Et son pays inaccessible !
De loin, il surveille les navires,
Espère une aide qui ne vient pas.
Sur l’île, la France n’est plus qu’un rêve.
Au fond il sait qu’il l’a perdu,
A trop vouloir on ne gagne pas.
L’exil est dur et peu d’amis
Mais les empereurs sont solitaires.
L’homme debout vire de bord
Pour retourner ver son dernier refuge.
Elena 2014
j aime beaucoup ls poemes sur la mer et ttes ses derives parfois sur ls flots incertains de la vie merci bne journee bizes
RépondreSupprimerQuitter sa patrie est certainement un déchirement, mais découvrir un nouveau pays peut être aussi un enrichissement. Ayant longtemps vécu à l'étranger, j'ai pu constater cela lorsque je suis revenue dans mon pays de naissance.
RépondreSupprimerun choix ou une obligation qui n'est pas évidente*mais le souvenir reste*
RépondreSupprimerbisous et belle journée
l'exil
RépondreSupprimerseul ds la nuit noire
hou hou
tiens voilç ds la prison d'alcatraz
une petite souris
je la cajole
je lui parle
je l'aime
je suis sauvé
C'est joliment écrit ... l'exil n'est pas un choix !
RépondreSupprimerBises amicales et une excellente journée Elena
joli poème, Elena;
RépondreSupprimerbelle journée;
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerBien joliment écrit, mais combien l'exil fut difficile pour Napoléon, il le fut tout autant pour Victor Hugo, je crois d'ailleurs qu'il doit l'être pour tout homme quelle que soit sa position sociale.
Très belle journée à toi.
Bisous
Prima
lui un grand homme bannit sur cette ile , il a du se sentir vide... oui comme tous ceux qui quitte tout et parfois ne trouve que le néant .....
RépondreSupprimerémouvant ton texte
bisous et douce journée
loin de tout
RépondreSupprimerds une i^le dézerte
pendant que je pe^che des poissons
je médite
et perds ma pêche
Zut que vais-je manger au repas de midi
la providence qui me surveille
crée un naufrage
et voici qu'arrive à la nage une naufragée
elle se resaisit
se peigne
se met un peu de rose
et ds le simple appareil
la voilà qui cuisine un repas délicieux
comme tte parisienne
elle fait merveille avec si peu
et je suis rovigoré
et me remets à siffloter la marseillaise
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerUn bien joli texte.
Bon jeudi
Bisous
A l'entrée de l'2cole normale, j'ai du composer sur un sujet original :
RépondreSupprimer"si vous deviez vous établir sur une île déserte, quel seraient les deux livres que vous emporteriez ?
j'ai dit la Bible, et une bonne encyclopédie
j'ai été reçu ??? !!!
bien que les écoles normales soient roses pour le moins
un très beau texte
RépondreSupprimerun sujet d'actualité
c'est vrai qu'à trop vouloir on perd tout
douce fin de journée
gros bisous
A trop vouloir on ne gagne pas. Plus prosaîquement, je dirai que Napoléon avait les yeux plus gros que le ventre. Il est assez rare que les tyrans finissent leur vie entourés de l'affection de tous !
RépondreSupprimerun destin similaire a celui de bien des conquérants avant et après lui ... la soif de pouvoir amène rarement des amis .... à travers ton poème, je vois réellement dans ma tête cet homme solitaire et que pourtant je n'arrive pas à plaindre !!!
RépondreSupprimergros bisous élena et bon vendredi