Madeleine avait prit un chat noir, elle en avait rêvé depuis longtemps,
Son mari avait enfin accepté. Il n’avait rien contre les animaux mais ne
voulait pas être tenu par un animal lors des départs. Madeleine approchait des
70 ans et ses petits-enfants venaient passer les vacances avec elle. Elle se
retrouvait pendant un mois avec 6 enfants entre 3 et 10 sans, les parents
venaient au début pour 2 ou 3 jours et revenaient les chercher en restant
encore 2 ou 3 jours. Cela lui convenait assez, cela évitait les conflits avec
son fils ou sa bru.
Lorsqu’elle eut son chaton noir, les enfants venaient d’arriver, le
chaton était petit et les enfants voulaient tous jouer avec lui. Heureusement
qu’un chat grimpe et peut se protéger contre les turbulences des enfants. Le
matin Madeleine aimait se reposer, le chaton dans les bras, il ronronnait, elle
lui racontait ses problèmes journaliers. Un matin, le chaton ne revint pas,
Madeleine était dans tous ses états, son mari lui dit :
-
Tu as voulu un chat, je t’avais prévenu que la
route d’à côté est dangereuse, je vais voir s’il est écrasé. Madeleine effectua
ses tâches ménagères, elle s’occupa des enfants, son cœur n’y était pas, Sa bru
lui reprocha de s’être plus attachée au chat qu’aux enfants. Elle ne disait rien,
la journée passa et le chaton ne revint pas, elle fit une battue avec les
enfants mais personne ne le trouva. La nuit Madeleine pleura, il lui manquait
tant, il venait ronronner dans ses bras, elle se sentait bien avec lui, il
était le seul à ne rien lui demander, à part la nourriture. Le lendemain
Madeleine dépérit, son fils s’inquiéta et lui ramena un autre chat noir, il
avait entendu qu’un chaton avait été écrasé un peu plus bas sur la route. Elle
le remercia, prit le chat dans ses bras, il descendit en la griffant et se
sauva. Ils avaient oublié que le chat était adulte, il n’était plus un
chaton. Les enfants le craignaient, il ne se laissait pas faire. Plus Madeleine
essayait de l’apprivoiser et moins il voulait, il préférait rester au coin de la
cheminée sur une couverture. Il acceptait tout juste un câlin des enfants mais
pas trop long.
Au bout d’un mois, le chat noir, sauta de lui-même sur les genoux de
Madeleine, elle n’en revenait pas et n’osait pas bouger. Il la regarda et
frotta sa tête contre elle, elle osa le caresser et pour la première fois elle
l’entendit ronronner.
Madeleine retrouva la joie de vivre, le chat noir était devenu son
compagnon, elle lui racontait les misères de sa vie, ils se comprenaient à
demi-mots.
Elena
un animal de compagnie, c'est avantages mais aussi inconvénients; il faut bien réfléchir;
RépondreSupprimerbelle journée, Elena
un animal de compagnie, c'est avantages mais aussi inconvénients; il faut bien réfléchir;
RépondreSupprimerbelle journée, Elena
les chats nous comprennent mieux que nous les comprenons!
RépondreSupprimerbisous et belle journée
oui elna je c pr ton mari pas besoin de le repreciser et je ss désolée et j espere k il sera un jour guérit comme je suis hypocondriaque lol je ne valide pas ton com en ligne il y a pleins de mots ke je redoute celui la aussi j espere ke tu comprends! et comme mon blog est en pause par contre belle analyse du caractere subtil ds chats biz bne journee
RépondreSupprimerUne jolie histoire ! parfois, on se sent mieux compris par les animaux que par les humains.
RépondreSupprimerBon week-end.
parfois on trouve plus auprès des animaux qu'auprès des gens. Ils peuvent aider dans la maladie...dans la vieillesse
RépondreSupprimerJe suppose que ton mari préfère passer sa convalescence à la maison, même si dans les hôpitaux on est bien entourés, se retrouver chez soi, quand c'est possible, un pas de plus vers la guérison et toi aussi ça doit te soulager...faut que tu sois forte pour 2 pas évident !!
bisous
je m'aperçois que j'ai laissé bcp de textes passer, pourquoi ? La on parle d'un chat tel que j'ai connu, Arthur, donné par une dame qui voyait sa mère partir en maison de retraite! la pôvre bête s"était cachée ds une étagère et ne voulait en sortir ni manger, mon épouze qui adore les chats en était désespérée, on la rendit, et ma femme a tj regretté de l'avoir rendu, elle en parle encore...
RépondreSupprimerQt à ton époux j'ignorais je t'assure !
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerTu sais que je n'approche pas les chats, quand je peux l'éviter. Ce n'est pas que je ne les aime pas, mais il me provoquent des rhinites allergiques. Quand elles étaient ados il arrivait que mes filles ramènent des petits chatons, ne pouvant refuser, nous en eûmes toutefois deux, j'acceptais de les nourrir, de les soigner. Les jeunes sont ainsi, ils " veulent " un chat, voire un chien mais s'en occupent rarement.
Très bonne journée à toi, et bon courage.
Bisous.
Prima
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerTu sais que je n'approche pas les chats, quand je peux l'éviter. Ce n'est pas que je ne les aime pas, mais il me provoquent des rhinites allergiques. Quand elles étaient ados il arrivait que mes filles ramènent des petits chatons, ne pouvant refuser, nous en eûmes toutefois deux, j'acceptais de les nourrir, de les soigner. Les jeunes sont ainsi, ils " veulent " un chat, voire un chien mais s'en occupent rarement.
Très bonne journée à toi, et bon courage.
Bisous.
Prima
Une histoire touchante... c'est le chat qui choisit son maître.. il lui a fallu le temps de l'observation et le respect de sa liberté. Beau texte. Je t'embrasse
RépondreSupprimerje te souhaite un bon we avec du soleil....
RépondreSupprimerle mois d'aout va peut-être finir en beauté
bisous et a demain
salut
RépondreSupprimerC'est une histoire prenante. C'est vrai qu'un chat est un compagnon idéal.
Bonne journée
Depuis la mort de mon dernier chien, je n'ai plus voulu avoir d'animaux : cela fait trop mal lorsqu'ils meurent.
RépondreSupprimerBonjour Elena,
RépondreSupprimerJ'espère que vous allez bien. Je sais par intermédiaire, que de douloureux problèmes vous étaient arrivés. J'espère que ça va mieux. C'est mon souhait lors de cette reprise d"écriture.
Pour ma part, j'ai trois chats dont un tout noir. C'est une triste histoire....avec une belle fin qui est arrivée à Madeleine. C'est vrai aussi que l'on s'attache à ces bêtes qui nous rassurent dans les moments pénibles. J'en sais quelque chose lorsque j'ai perdu mon âme soeur....si elles n'avaient pas été là....Dieu sait dans quel état émotionnel et tragique, cette chère absence m'aurait conduit. Je te souhaite un bon dimanche. Amicalement.
Cela me rappelle ma gentille chatte noire que j'appelais "Lamoune" mes parents n'ont jamais osé m'annoncer qu'elle était morte je dépérissais ne la voyant plus et à quelques temps de là ils m'ont acheté une autre chatte noire sans me dire que ce n''était pas "Lamoune et j'ai cru que c'était elle et ma joie de vivre est revenue...! Je n'ai su que longtemps plus tard la supercherie mais je ne leur ai pas voulu.
RépondreSupprimerBon dimanche chère Eléna une pensée à ton mari gros bisous
c'est vrai qu'on oublie facilement que si un animal est le confident d'un enfant c'est aussi celui d'une personne agée !
RépondreSupprimerBonjour Elena les chats remplacent souvent les Hommes qui ne savent pas écouter ni aimer. Colette aussi parlait beaucoup à ses chats, et de ses conversations ont jailli de très beaux textes.
RépondreSupprimerune pensée pour ton mari qui j'espère va bien
grosses bises à toi
Alixe
Bonjour Elena les chats remplacent souvent les Hommes qui ne savent pas écouter ni aimer. Colette aussi parlait beaucoup à ses chats, et de ses conversations ont jailli de très beaux textes.
RépondreSupprimerune pensée pour ton mari qui j'espère va bien
grosses bises à toi
Alixe
Ton histoire me rappelle ce gros matou qui venait sur mes genoux quand ma mère me grondait....elle ne pouvait pas m'approcher !
RépondreSupprimerBises et belle journée Elena