UNE ADRESSE
Je cherchais la rue Jean Jaurès,
J’y avais vécu, il y a cinquante ans.
Tout avait changé, je me perdais,
Voilà j’ai trouvé la rue.
Je cherchais le numéro cent sept
Rasé, disparu, plus de passé.
Je restais au cent, perdant mes repères,
Mes larmes coulaient, plus de maison.
Je partis la tête dans mon passé,
Adieu enfance, triste moment.
Elena
bonjour Elena
RépondreSupprimerparfois il vaut mieux ne pas y retourner et garder en mémoire les images du passé
bisous
..adresse et maison disparues, adieu jeunesse, adieux souvenirs, des choses qui arrivent hélas ! amities et grosses bises chere Ln ..
RépondreSupprimerEt oui quand le quartier de notre enfance et encore plus la maison, n'existent plus, c'est encore plus douloureux. Il y a des endroits où je ne suis jamais retournée, juste pour ne pas avoir à vivre ça. Bisous et une douce journée
RépondreSupprimerParfois c'est ainsi
RépondreSupprimerJ'ai cherché une maison moi-aussi qui a fait place à un parking .
RépondreSupprimerJoliment écrit
Douce journée ELENA
Bisous
timilo
C'est triste mais la vie change..Bisous doux weekend
RépondreSupprimerCela me fait penser quand il y a plusieurs années, je suis retournée à Paris, j'ai retrouvé mon ancien immeuble mais l'ai à peine reconnue. Je voulais refaire le chemin de l'école, de la maternelle jusqu'au CE2, mais ne l'ai pas retrouvé. Mémoire défaillante ou changement des quartiers? .... Le souvenir de mes pas dans les feuilles reste et c'est le plus important!
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