La parisienne demande :
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Comment
avez-vous vécu l’occupation ?
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Dame cela n’a
rien changé pour nous, on avait toujours autant de travail
-
Mais vous les
voyiez les Allemands ?
-
Oui, ils
venaient dans la région mais ils ne nous dérangeaient pas,
-
Vous acceptiez
le gouvernement de Vichy ?
-
Cela n’avait
aucune différence pour nous, on travaillait toujours.
-
Et la résistance
vous connaissiez ?
-
Après la guerre
quand tout le monde en parlait.
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Comment
avez-vous réagi à la libération ?
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Pour nous
c’était pareil, cela ne changeait rien, nous avions toujours autant de travail.
Découragée la Parisienne ne posa plus de
questions, elle en savait déjà de trop !
Elena 2015
difficile de juger 75 ans après
RépondreSupprimerbelle journée
difficile de juger 75 ans après
RépondreSupprimerbelle journée
la terre se fiche des guerres , la nature se fiche des disputes et et meurtres entre humain ... ceux qui la travaillent vivent avec la terre....
RépondreSupprimerla guerre c'est pour les gens qui s'ennuient et on le temps de mal penser ....
C'est ma foi un peu vrai, il fallait bien continuer à vivre ou même à survivre.
RépondreSupprimerMOI AURAIS ETE DS LA RESISTANCE
RépondreSupprimerGUY
les gens de la campagne etaient à part je crois pdt la guerre ils vivaient bien mieux ke ceux ds villes et etaient un peu indifférents sans opinion c un autre monde à l epok
RépondreSupprimerBonjour Elena,
RépondreSupprimerNous vivions dans une petite ville de Suisse Normande, ma mère se retrouvait seule avec 3 enfants, mon père n’était plus avec nous, recherché par la Gestapo, ce ne fut certes pas facile pour elle.
Je ne sais comment vivaient les campagnes durant l'occupation, mais j'ai un bon souvenir de ces gens de la terre qui nous ouvrirent leurs granges et parfois leurs portes après le déluge de bombes du 6 juin 44 sur nos villes.
Elle me paraît bien étrange ta villageoise, ou sa campagne n'avait rien de commun avec la campagne normande. Tous les villageois ne furent certainement pas comme elle. Je crois qu’elle pratiquait la politique de l’autruche « ne rien voir, ne rien entendre »
http://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_1997_num_47_5_4811
Bonne fin de soirée.
Bisous
Prima
une époque complexe, à la ville comme à la campagne
RépondreSupprimerBonsoir Elena,
RépondreSupprimerMes grand parents, parents ont vécu cette époque.
Bonne soirée
Bisous
elle était "gratinée", disons spéciale, cette villageoise, j'ai connu cette epoque à la campagne, nous ne souffrions pas de la faim, mais nous étions tres concernés par tout ce qui se passait, ceux qui se cachaient, les prisonniers qui n'étaient plus là, les maquis, les atrocités allemandes, les collabos, pas facile cette epoque, pour ne rien voir, il fallait vraiment être abruti ! pardon Ln ça a existé des gens comme ça, mais la plupart étaient concernés, amitiés et bises
RépondreSupprimerAu moment des bombardements les enfants frontaliers ont été expédiés en Suisse et les désastres de la guerre ont pu être découverts à la fin........
RépondreSupprimerBisous et belle journée Elena
Grâce au travail des paysans beaucoup ont pu manger et survivre.. beaucoup aidaient les résistants .. la villageoise qui n'entend et ne voit rien me semble être une exception.. Bonne journée Elena. Bisous
RépondreSupprimerPasses un bon mercredi Elena
RépondreSupprimerBisous
beaucoup de paysans travaillaient "pour rien" ! ils avaient des quotas qu'ils devaient donner aux allemands ! heureusement, la France a beaucoup de cachettes où l'on pouvait faire de la culture et même des moutons sans que ça se sache !
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