UNE ADRESSE
Je cherchais la
rue Jean Jaurès,
J’y avais vécu,
il y a cinquante ans.
Tout avait
changé, je me perdais,
Voilà j’ai
trouvé la rue.
Je cherchais le
numéro cent sept
Rasé, disparu,
plus de passé.
Je restais au
cent, perdant mes repères,
Mes larmes
coulaient, plus de maison.
Je partis la tête
dans mon passé,
Adieu enfance,
triste moment.
Elena
C'est bien vrai que c'est un choc quand l'endroit où on a vécu n'existe plus...bisous
RépondreSupprimertres beau texte pour des repères de jeunesse perdus, ça arrive hélas souvent, bonne journee et grosses bises chere Ln
RépondreSupprimerC'est un peu comme lorsque j'ai vendu la maison de mes parents...elle est toujours là mais d'autres y vivent ....drôle de sentiment, c'est pourquoi il m'arrive de faire un détour...
RépondreSupprimerBon mercredi Elena avec
bises
un SOUVENIR au goût déjà vu pour moi et super écrit ELENA BISES
RépondreSupprimerbonjour
RépondreSupprimervoilà pourquoi je ne veux pas retrouver la maison de mon enfance !!!
bonne journée
Salut,
RépondreSupprimerEt oui les quartiers changent aussi.
On a une belle journée encore et c’est tant mieux.
La température est normale .
Bonne journée
je ne connais que l'avenue Jean Jaurès
RépondreSupprimerPour moi, c'est de voir d'autres personnes y habiter qui me fait mal au coeur ...
RépondreSupprimer" Bon jeudi, toujours avec une bonne chaleur normale ...
Ouf, on respire et dort mieux !
Gros bisoux ♥ "