Un éclair foudroyant déchira le ciel, les
éclairs se succédèrent. Les gens tombaient foudroyés, les voitures brûlaient,
les arbres s’écroulaient. Quelques personnes essayaient d’aider les plus
touchés. Une journaliste redonnait du courage aux gens ayant tout perdu !
Dans ce chaos Marc décrivait tout ce qu’il
voyait, son ordinateur ne fonctionnait plus, il prit un cahier et un crayon et
continua à tout noter. Il était venu à
Paris pour suivre des cours de journalisme ; cette catastrophe était un
grand scoop pour lui ; il en oubliait sa peur !
Le toit d’en face venait de s’écrouler, il
voyait les tuiles tomber sur la foule massée en bas, il prit son appareil photo
et mitrailla les éclairs, les ruines et la foule.
Personne ne savait comment tout avait
commencé ! A la radio on parlait d’une collision entre navettes spatiales,
d’autres disaient qu’ une bombe atomique avait explosé, personne ne savait d’où
elle provenait. Marc penchait pour une catastrophe naturelle attendue depuis
plusieurs années, elle serait due au réchauffement et à la pollution.
Une secousse ébranla le jeune homme, il se
retrouva couché malgré lui. Marc ouvrit la porte, un spectacle terrifiant
l’immobilisa : l’escalier s’effondrait pris dans les flammes. Il ne
pouvait plus sortir ni sauter par la fenêtre, vivant au sixième étage.
L’étudiant essaya son téléphone, les
pompiers ne répondaient pas, il fit le quinze sans plus de succès. Il s’affola
un peu, essaya d’appeler ses amis puis sa famille mais le téléphone restait
obstinément silencieux.
Désespéré Marc s’allongea sur son lit
attendant la fin du monde ou celle de Paris. Il revit sa vie en un éclair, il
pensa à sa mère et ses sœurs ; une larme coula sur sa joue. Isabelle, sa
fiancée, vivait près des siens, il se demanda si tout allait bien à Montluçon,
pays d’où il venait. Il voyait des éclairs, ça lui rappela un feu d’artifice,
ce furent ses derniers souvenir. Un éclair enflamma la fenêtre et la chambre
s’embrasa, Marc disparut avec les flammes.
Il ne restait plus une seule maison debout,
Paris s’était effondré le tout avait duré cinq minutes !
Elena
alors là tu as fait fort, bravo beau récit d'apocalypse !! rassurant je vois par la fenêtre, ciel bleu et soleil, temperature assez fraiche 23°...tout est calme, la catastrophe n'est pas pour aujourd'hui ? grosses bises chere Ln
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RépondreSupprimerBonjour Elena,
RépondreSupprimerSuperbement écrit, tu es douée pour la science-fiction, quelle belle imagination !
Très bonne journée à toi.
Bisous.
Prima
moi, je trouve le stand aussi tentant que chez nous sul les marchés ou dans les grandes surface car là, la viande est fraiche, pas comme chez nous;
RépondreSupprimeril suffit de bien la cuire, ce qui devient necessaire chez nous aussi;
belle journée, Elena;
ça marche en effet;
ton histoire tourne autour de paris
RépondreSupprimertj-paris encore-paris paris-à-jamais
j'ai presque envie de dire bien fait
sauf faire pleurer notre écriveuse-thrilleuse
de toutes ses gouttes de larmes
la fin du monde, vive l'anarchie
Images : un nanarchiste résolu
Musique : un blues sinistre flûte et tamboubour
Un coucou sous un doux rayon de soleil gros bisous
RépondreSupprimerc'est reposant
RépondreSupprimermerci tu as réussi
RépondreSupprimerje peux enfin te laisser un com
douce soirée
bisous créoles
salut
RépondreSupprimerun beau texte qui est plutôt de la science fiction
bonne journée
bonsoir Elena ..... un récit qui donne le frisson ..... et que je me rappelle avoir déjà lu chez toi ...... ce récit me rappelle une chanson de Nougaro ....
RépondreSupprimergros bisous et bon mercredi
quelle catastrophe
RépondreSupprimerça fait peur
belle journée de mercredi
bisous ensoleillés
Une catastrophe annoncée ...
RépondreSupprimerJoliment décrite
Douce journée ELENA
Bisous
timilo
Bonjour chère Eléna et oui je me suis séparé de mon beau blog avec la belle vague car il allait devenir payant mais les fonctionnalités n'étaient pas si étendues qu'avec blogger. Et j'ai de la chance mes amis boggeurs m'ont suivi.
RépondreSupprimerj'espère que tu trouve tes marques sur celui-ci belle journée à toi gros bisous
Il est plus facile à manier que le nouveau over-blog que j'ai laissé tomber. Mais Prima m'a aidée pour certains points techniques. La vague même très belle ne vaut pas que tu la payes; tu en trouveras gratuitement à la mer !
SupprimerPetits coucou rapide
RépondreSupprimerBelle journée Elena
Bises
fontaine
merci de venir me faire un petit coucou malgré mon long silence.
RépondreSupprimerc'est adorable et réconfortant.
ton histoire m'angoisse
RépondreSupprimerje te préfère écriveuze d'amour
je ne suis pas comme D s k accro aux moches
mais grand amoureux de l'amour et du beau
*en peinture amoureux transi, voir mail
Très belle ta peinture ! Merci de me l'avoir envoyé. Bonne journée
Supprimerô mon hélènskaia
RépondreSupprimercomme j'aimerais te croquer ?
Terreur d'enfant. Peur de l'an 2000, d'une fin rapide.
RépondreSupprimerJe ne peux m'empêcher de penser à Ravages de René Barjavel.
Chez cet auteur, il y avait un peu d'espoir encore. Chez toi, on reste sur une angoisse; c'est sans doute ça l'"âme" russe, une fatalité, un désespoir profond, un caractère passionné...
Bonne journée.
heureusement que ce n'est qu'un écrit....heureux de te retrouver Elena....dans ce bel écrit....dur mais réaliste...bisessssssss
RépondreSupprimerclaude
Claude, je n'ai pas ton url ou alors ce n'est pas ton surnom de blog ?
SupprimerMerci pour l'adresse, mais est-ce la nouvelle?
RépondreSupprimerOui, je reste ici désormais, merci de ton passage.
SupprimerBonjour Elena,
RépondreSupprimerAprès avoir transité par ma résidence secondaire me voici dans ton nouveau domaine... Mon cytise que tu as trouvé si beau sur la photo a diminué des deux tiers, il était devenu trop envahissant.
Très belle fin de journée à toi.
Bisous
Prima
Rassure nous. Ce n'est qu'un vilain cauchemar et Paris "ne brûle pas". Il est toujours debout ? En tout cas, je n'ai rien entendu. Bises et bonne fin de soirée. Tes yeux ? Ca va ? Florentin.
RépondreSupprimersalut
RépondreSupprimerce n'est qu'un cauchemar heureusement
bonne journée
Heureusement que Paris est encore debout...
RépondreSupprimerBien racontée
Bises et bon jeudi Elena !
fontaine